Ne sommes-nous pas le reflet d’une société qui contraint ?
Pouvons-nous nous libérer de la confusion entre consentement et confusion ?
Une quête féminine de la liberté
Revisitant le thème très prisé des Orientalistes du 19ᵉ siècle, Philippe Gauberti libère ces belles odalisques captives et esclaves sexuelles et les rebaptise ODALIBRES: Odalisques ayant acquis le statut de la liberté.
Une offrande à la lumière
Leurs ouvertures arrondies, introspectives et libératrices, sont des offrandes à la lumière qui les habite. Elles réfléchissent et nous font réfléchir Dans cette réinterprétation, l'artiste dénonce les abus sexuels et la confusion entre séduction et consentement.
Une œuvre sous contrainte
Pour les formats monumentaux, ces œuvres sont réalisées en inox et contraintes à froid pour garder le naturel de déformation des plaques soudées sur une armature Inox. Les techniques de soudures invisibles sont maitrisées par des années de pratique.
Une œuvre miroir, un reflet de société
L’œuvre sculptée est polie jusqu'à obtenir un effet miroir et parfois recouverte de vernis Candy colore. Les petites pièces sont réalisées en acier selon les mêmes techniques à froid, puis polies et moulées en résine polyptère et poudre de marbre.
Explorez la complexité de l’être humain et la dualité du “Je”
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