Sommes-nous les victimes de l’impact de nos traumatismes ?
Notre reflet dans l'œuvre ne fait-il pas de nous la cause de l'impact sur notre environnement ?
Nos cicatrices, un art ?
Dans ce thème d'œuvre très personnel, l'artiste met en scène la violence de l'impact laissé par nos traumatismes et montre que même atteints au plus profond de nous, nous pouvons choisir de réfléchir la lumière et de faire de nos cicatrices une œuvre d'art.
Au plus profond de notre psyché
La trajectoire de l'impact est précise, sans appel, elle traverse d'abord la barrière corporelle puis s'enfonce au plus profond des instances de l'appareil psychique. La cicatrisation n'est finalement qu'intérieure et elle rayonne dans sa couleur orange comme une cautérisation du mal par la flamme.
Une œuvre aux apparences naturelles
Comme dans toutes les sculptures de Philippe Gauberti, un sens caché masque l’évidence.
Les œuvres sont réalisées en inox et contraintes à froid pour garder le naturel de déformation des plaques soudées sur une armature Inox.
Une œuvre d’orfèvre
Les techniques de soudures invisibles sont maitrisées par des années de pratique. L’œuvre sculptée est alors polie jusqu'à obtenir un effet miroir. Les flèches sont en résine polyptère moulé à partir d'une sculpture en cire puis laquée aux couleurs élaborées par l'artiste. Les rejets de matière sont réalisés en cire, puis moulés, fondus en bronze et chromés avant ajustage.
Explorez la complexité de l’être humain et la dualité du “Je”
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